Fusion TÉLUQ-UQAM: mure pour un divorce

Le journal Le Devoir publie un article intéressant pour ceux qui, comme moi, étudient à la Télé-Université (TÉLUQ). L’article intitulé Fusion – TELUQ-UQAM: un mariage non consommé explique que la fusion de la TÉLUQ auec l’Université du Québec à Montréal (UQAM) n’a donné aucun résultat concret après 3 ans et qu’à l’heurae actuelle on envisagerait même le divorce de ces deux entités.

De mon côté, j’ai cru observer plusieurs “problèmes” pour les étudiants de la TELUQ suite à cette fusion. En fait, les étudiants de la TELUQ n’ont jamais vraiment été reconnus comme des étudiants à part entière de l’UQAM. Par exemple, l’accès aux installations sportives et à divers services sont encore restreints. Du point de vue étudiant, il n’y a pas eu en trois ans de véritable bénéfices à cette fusion.

Depuis que cette fusion est à l’état de projet que je me questionne sur sa nécessité. La TÉLUQ exerce dans un créneau qui est en plein essor: la formation à distance. Elle aurait pu survivre et même croître sans l’UQAM alors que cette dernière, criblée de dettes avait besoin d’une vache à lait. À mon avis, la fusion devait profiter d’avantage à l’UQAM, mais finalement, comme dans tout mariage forcé, personne n’est heureux.

Je crois qu’il serait temps de mettre fin à ce mariage, chacune des parties tirerait bien plus profit de sa liberté quitte à collaborer au besoin pour offrir des programmes inter-institutions comme la TÉLUQ le fait avec l’ÉTS pour certains programmes.

Cette fusion était elle encore un autre geste mégalomane du recteur de l’époque?

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